Avec 14 nouvelles lignes programmées, l'Aéroport de Lyon propose 120 destinations en direct, un réseau aérien du niveau de celui de 2019
- VINCI Airports à Lyon annonce 14 nouvelles lignes dont 7 nouvelles destinations, permettant au territoire de retrouver toute sa connectivité.
- Exemplaire sur son périmètre (scopes 1&2) en matière de réduction des émissions de CO2, l’aéroport s’implique pour faciliter la réduction des émissions de l’ensemble de son écosystème, incluant les activités aériennes et les accès à l’aéroport (scope 3).
Un réseau de destinations en croissance
En 2023, avec 120 destinations proposées vers 36 pays, l’aéroport Lyon-Saint Exupéry retrouve son offre de destinations directes d’avant crise.
VINCI Airports est heureux d’accueillir à Lyon 14 nouveautés lancées sur cette deuxième partie de l’année.
Doha sera desservie pour la première fois à Lyon par Qatar Airways, compagnie aérienne de renommée mondiale. Cette nouvelle liaison long-courrier offrira davantage d’options pour se rendre au Moyen-Orient et en Asie, notamment au Vietnam, en Indonésie et en Thaïlande, avec des connexions optimisées. L’arrivée de Qatar Airways à l’aéroport de Lyon renforce le positionnement de Lyon et sa région en tant que destination internationale de premier ordre.
Volotea, dont la base s’est enrichie en avril dernier d’un deuxième avion, lance 4 nouvelles destinations : Bilbao, Florence, Berlin et Hambourg ainsi qu’une nouvelle liaison vers Madrid. Transavia positionne également un 4ème avion à Lyon et propose Antalya en Turquie et Tlemcen en Algérie. easyJet rajoute à son réseau Cagliari, Malaga, Prague, et La Rochelle. Oujda au Maroc sera desservie par Air Arabia et Lille par Twin Jet.
7 nouvelles destinations :
Doha (Qatar) opérée par Qatar Airways - 4 fois par semaine à partir du 3/07
Antalya (Turquie) opérée par Transavia - 1 fréquence par semaine à partir du 10/04
Tlemcen (Algérie) opérée par Transavia - 1 fréquence par semaine à partir du 5/07
Florence opérée par Volotea - 2 fréquences par semaine à partir du 8/04
Bilbao (Espagne) opérée par Volotea 2 fréquences à partir du 7/09
Berlin opérée par Volotea - 2 fréquences à partir du 12/10
Hambourg opérée par Volotea - 2 fréquences à partir du 10/10
7 nouvelles lignes :
Madrid opérée par Volotea – 2 fréquences par semaine à partir du 7/04
Cagliari (Sardaigne) opérée par easyJet – 2 fréquences par semaine à partir du 7/04
La Rochelle opérée par easyJet – 3 fréquences par semaine à partir du 17/04
Malaga (Espagne) opérée par easyJet – 2 fréquences par semaine à partir du 03/06
Prague opérée par easyJet - 2 fréquences par semaine à partir du 04/09
Oujda (Maroc) opérée par Air Arabia - 1 fréquence par semaine à partir du 21/06
Lille opérée par Twin Jet - 5 fréquences par semaine à partir du 17/04
Au-delà de ces ouvertures, des renforcements importants de fréquences hebdomadaires sur des destinations existantes permettent de développer encore la connectivité, tels que les vols vers Lisbonne (de 7 à 10 fréquences avec easyJet) et Setif (de 4 à 7 fréquences avec Air Algérie). Les long-courriers bénéficient également d’ajouts significatifs : après le retour du vol Emirates 7j/7, la desserte de Montréal par Air Transat devient quotidienne cet été, la compagnie ayant aussi annoncé poursuivre cette desserte l’hiver prochain.
Une prise en compte des enjeux environnementaux toujours plus forte pour accompagner ce développement
Cette croissance du réseau permet de répondre aux enjeux de développement du territoire et aux besoins de mobilité de ses habitants. En ligne avec la politique environnementale de VINCI Airports, l’aéroport de Lyon s’est fixé l’objectif de réduire au maximum ses émissions de CO2 (scopes 1 et 2), puis de séquestrer localement (puits carbone) les émissions résiduelles (500t), ce qui lui permettra d’être 0 émission nette de CO2 dès 2026.
En parallèle, l’aéroport a mis en place un plan d’actions reconnu par l’obtention de l’ACA 4+ (le plus haut niveau de certification en matière de gestion carbone du référentiel ACA Airports Carbon Accreditation) ; l’ACA 4+ consiste notamment à mettre en place un partenariat avec les acteurs de l’aéroport pour la réduction des émissions de CO2 liées aux activités aériennes et aux accès à la plateforme (qui relèvent du scope 3), et qui représentent la majeure partie des émissions de la plateforme aéroportuaire.
L’aéroport de Lyon a défini sa propre trajectoire de réduction de ces émissions du scope 3 jusqu’à 2050, en lien avec la feuille de route française de décarbonation du secteur aérien : elle intègre différents paramètres qui se basent sur les leviers de décarbonation du secteur aérien comme l’évolution technologique des avions, l’utilisation des carburants d’aviation durable (CAD) et de l’hydrogène, ou la transformation de la mobilité terrestre.
VINCI Airports contribue à ces leviers à différents niveaux : afin d’inciter les compagnies aériennes à faire évoluer leur flotte d’avions, VINCI Airports applique sur ses aéroports, dont Lyon, une politique incitative d’éco-modulation des redevances en fonction du niveau d’émissions de l’aéronef. Concernant les CAD, l’aéroport favorise leur utilisation en proposant la gratuité de leur stockage sur la plateforme. Enfin l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry, site pilote de VINCI Airports pour l’hydrogène, anticipe le développement de ses infrastructures pour accueillir les futurs avions à hydrogène : une station de production et de stockage d’H2 vert est prévue en 2035, en partenariat avec Airbus et Air Liquide. S’agissant des émissions liées aux accès, VINCI Airports prévoit à Lyon l’installation d’ici fin 2024 de 800 bornes de recharge électrique pour les véhicules des passagers. Deux stations hydrogène sont aussi prévues, l’une dédiée aux véhicules légers (station Hympulsion en partenariat avec la Région Auvergne-Rhône-Alpes en 2023) et l’autre à la mobilité lourde sur le site de Cargoport, la zone fret de l’aéroport (à partir de 2025).
Pour Tanguy Bertolus, président du Directoire d’Aéroports de Lyon : “Nos passagers montrent plus que jamais leur besoin de voyager. Le transport aérien permet de rapprocher les hommes, d’accéder à la culture, de développer les économies et d’améliorer le niveau de vie. Pour continuer à offrir cette ouverture sur le monde en réduisant au maximum ses impacts environnementaux, le secteur du transport aérien évolue plus rapidement que tout autre. VINCI Airports à Lyon se mobilise aux côtés des acteurs du secteur pour préparer dès aujourd’hui la mobilité de demain.”
*Source : émissions scope 3 Aéroport Lyon-Saint Exupéry moyenne 2019-2021
À propos de Lyon Aéroport
À propos de Lyon Aéroport Lyon Aéroport pilote l’exploitation de Lyon–Saint Exupéry pour l’aviation commerciale et Lyon–Bron 3ème aéroport français pour l’aviation d’affaires. Premier aéroport du réseau VINCI Airports en France avec près de 9 millions de passagers en 2022, Lyon-Saint Exupéry propose 120 destinations directes en 2023 et est connecté aux principaux hubs internationaux. Il est relié en 30 minutes au centre-ville par le tram-train Rhônexpress. L’aéroport Lyon-Saint Exupéry, centre d’excellence pour l’innovation de VINCI Airports, propose des infrastructures récentes et une stratégie d’innovation centrée sur une expérience passagers de qualité et une excellence opérationnelle pour les compagnies aériennes. Certifié Niveau 4+ de l’ACA (Airport Carbon Accreditation), ISO 14001 et ISO 50001, l’aéroport Lyon-Saint Exupéry se développe en totale maîtrise de son impact environnemental. www.lyonaeroports.com
A propos de VINCI Airports
Premier opérateur aéroportuaire privé au monde, VINCI Airports gère plus de 65 aéroports dans 12 pays en Europe, en Asie et sur le continent américain. Grâce à son expertise d’intégrateur global, VINCI Airports développe, finance, construit et exploite les aéroports en apportant sa capacité d’investissement et son savoir-faire dans l’optimisation de la performance opérationnelle, la modernisation des infrastructures et la conduite de leur transition environnementale. VINCI Airports est le premier opérateur aéroportuaire à s’être engagé dans une stratégie environnementale à l’échelle internationale en 2016, pour atteindre l’objectif zéro émission nette sur l’ensemble de son réseau d’ici 2050.